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Temps de lecture : 5min

Guide complet des démarches administratives pour jeune chirurgien-dentiste diplômé : tout ce qu’il faut savoir

Obtenir son diplôme et devenir un ou une jeune chirurgien-dentiste marque le début d’une belle carrière… mais aussi d’un parcours administratif parfois complexe. Pour vous aider à démarrer dans les meilleures conditions, voici un guide complet : récupérer son diplôme, faire traduire ses documents (si nécessaire), s’inscrire à l’Ordre, trouver son premier poste et enfin commencer à exercer. À chaque étape, vous trouverez également des conseils pratiques et des liens utiles. Un point reste flou ? Laissez-nous un message via notre page contact. Première étape : Récupérer son diplôme de chirurgien-dentiste Après la soutenance et la validation finale de vos études, la première étape est la récupération de votre diplôme : OÙ RÉCUPÉRER VOTRE DIPLÔME ? Auprès du service de scolarité de votre faculté d’odontologie. Certaines universités proposent un retrait sur place ou un envoi postal sécurisé. POURQUOI EST-CE INDISPENSABLE ? Le diplôme original vous sera demandé : pour votre inscription à l’Ordre des chirurgiens-dentistes par certains employeurs Deuxième étape : Faire traduire ses diplômes (si nécessaire) Si vous avez obtenu votre diplôme de chirurgien-dentiste dans un pays de l’Union européenne et que vous souhaitez exercer en France, certaines pièces devront être traduites en français pour permettre l’étude de votre dossier par l’Ordre. Quels documents doivent être traduits ?Selon votre pays d’obtention du diplôme, l’Ordre peut demander la traduction de : votre diplôme de chirurgien-dentiste votre casier judiciaire vierge du pays où vous avez étudié datant de moins de 3 mois Par qui faire traduire vos documents ?Les traductions doivent être réalisées par un traducteur assermenté. Traduction obligatoire ?Oui, si votre diplôme n’est pas en français. Non, si vos documents officiels sont déjà rédigés en français (certaines universités européennes délivrent des diplômes bilingues). Pourquoi cette traduction est indispensable ?Elle permet à l’Ordre des chirurgiens-dentistes d’examiner votre équivalence de formation et de vérifier la conformité du cursus à la directive européenne. Selon votre pays d’obtention du diplôme, l’Ordre peut demander la traduction de : votre diplôme de chirurgien-dentiste votre casier judiciaire vierge du pays où vous avez étudié datant de moins de 3 mois Les traductions doivent être réalisées par un traducteur assermenté. Oui, si votre diplôme n’est pas en français. Non, si vos documents officiels sont déjà rédigés en français (certaines universités européennes délivrent des diplômes bilingues). Elle permet à l’Ordre des chirurgiens-dentistes d’examiner votre équivalence de formation et de vérifier la conformité du cursus à la directive européenne. Vous êtes diplômé(e) en Union Européenne et vous souhaitez vous installer en France ? AMELICE Conseil peut vous aider à anticiper les demandes de l’Ordre. Troisième étape : S’inscrire à l’Ordre national des chirurgiens-dentistes L’inscription à l’Ordre est obligatoire pour exercer en France. Sans elle, impossible de signer un contrat, remplacer, collaborer ou s’installer. OÙ S'INSCRIRE ? On peut s’inscrire sans exercice dans le département où on habite. Si vous souhaitez vous inscrire dans un autre département, il faut d’abord avoir un contrat de collaboration ou un contrat de travail. DOCUMENTS GÉNÉRALEMENT DEMANDÉS : Diplôme original ou attestation provisoire Pièce d’identité Extrait de casier judiciaire vierge CV Justificatif de situation professionnelle (contrat, promesse d’embauche) Formulaire d’inscription complété Attestation d’assurance RCP DÉLAIS Le Conseil de l’Ordre vous inscrira sous un délai de 3 mois, date de dépôt du dossier complet. Quatrième étape : Trouver son premier poste de chirurgien-dentiste LES TYPES DE POSTES ACCESSIBLES : Collaboration libérale Salariat (centres dentaires, hôpitaux, cabinets libéraux) CONSEILS POUR BIEN CHOISIR : Demander le contrat à l’avance Vérifier les clauses (rétrocession, horaires, matériel, exclusivité, clause de non-concurrence) Comparer les conditions d’accompagnement pour jeunes diplômés OÙ RECHERCHER ? Plateformes d’emploi spécialisées en dentaire Groupes Facebook dédiés Notre site : Amelice Conseil Réseaux professionnels CDO (Conseils Départementaux de l’Ordre) : certaines annonces locales Vous souhaitez être accompagné(e) pour choisir votre première structure ? Appelez-nous au 06 24 40 01 67. Une fois que nous connaîtrons vos besoins, nous vous orienterons vers les opportunités qui vous conviendront le mieux. Pour connaître le détail de notre démarche, vous pouvez consulter cette page : Candidats Cinquième étape : Commencer à exercer Avant votre premier jour, pensez à finaliser : Inscription / activation à l'URSSAF : Si vous exercez en libéral, même partiellement. Souscription d’une assurance RCP-Pro : Obligatoire pour tous les praticiens. Disponible auprès de la MACSF, La Médicale, ou autres assureurs spécialisés. Contrat de collaboration ou de remplacement signé : Lire attentivement chaque clause avant signature. Création de votre espace personnel : Ameli Pro Conclusion : préparez votre entrée dans la profession sereinement Ces étapes administratives sont essentielles pour démarrer votre carrière dans les meilleures conditions. Pourtant, elles peuvent sembler longues, techniques ou source d’incertitudes pour un jeune diplômé. AMELICE Conseil vous accompagne sur toutes ces démarches : constitution de dossier, inscription à l’Ordre, traduction, recherche de poste, analyse de contrats, installation… Posez toutes vos questions ou demandez un accompagnement personnalisé ici : Nous contacter Voir toutes nos actualités

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Temps de lecture : 7min

Facturation dentaire & CPAM : les règles essentielles pour prévenir tout litige

En 2025, une enquête menée par la Section de recherches de Versailles a mis à jour une escroquerie organisée. Quatre chirurgiens-dentistes et un expert-comptable sont poursuivis pour avoir facturé de façon irrégulière des soins dentaires, provoquant un préjudice estimé à plus de 500 000 € pour la CPAM.Des cas similaires ont déjà été relevés ailleurs, insistant sur la gravité des manquements en matière de facturation ou de respect des règles. Dans toute structure dentaire, mettre en place quelques bonnes pratiques permet de réduire fortement les erreurs de facturation avec la CPAM. Quelles obligations connaître pour rester en règle avec la CPAM ? Lorsqu’un cabinet ou un centre dentaire traite avec la CPAM, plusieurs obligations doivent être strictement respectées :Facturation des actes dentaires : il faut utiliser les codes corrects de la nomenclature CCAM ou de la NGAP selon le cas.Respect du parcours de soins et de la prise en charge. Premièrement, s’assurer que le patient soit dans le bon cadre de remboursement. Deuxièmement, que le praticien soit autorisé à exercer les actes concernés. Troisièmement, que toutes les conditions soient remplies.Délais et justificatifs à fournir : il faut pouvoir produire les pièces demandées (devis signé, radios, comptes-rendus) dans un délai raisonnable en cas de contrôle.Consentement éclairé et traçabilité : le patient doit avoir été informé et le cabinet doit conserver la preuve que l’acte était justifié, réalisé et documenté.Une bonne compréhension et application de ces règles permet de sécuriser la relation avec la CPAM. Quelles sont les erreurs les plus fréquentes ? Même sans mauvaises intentions, de nombreuses structures dentaires peuvent réaliser des erreurs de facturation. Les plus fréquentes concernent d’abord la saisie des actes. Un code inadapté, mal renseigné ou incohérent provoque rapidement des rejets de facturation, des anomalies et des demandes de justification. S’y ajoutent les actes mal documentés, un problème courant lié à la surcharge administrative. Sans radio, devis, consentement ou preuve clinique, l’acte devient contestable lors d’un contrôle.La gestion du tiers-payant, lorsqu’elle est partielle ou non conforme aux règles inter-AMC, constitue une autre source majeure de litiges, tout comme le manque de complétude des dossiers patients. Un contrôle CPAM peut ainsi révéler des pièces manquantes et entraîner réserves, pénalités ou remise en cause des soins. Enfin, une coordination insuffisante avec les complémentaires santé génère des rejets inter-AMC. Ces derniers impactent directement la pérennité financière du cabinet et multiplient les risques de contentieux.Ces erreurs, souvent évitables, fragilisent la structure et augmentent les risques de redressements. De plus, ils nuisent à la relation avec les autorités de santé et ont un impact direct sur la réputation du cabinet ou du centre dentaire. Que faut-il mettre en place pour éviter tout problème avec la CPAM ? Pour protéger votre structure dentaire, éviter les erreurs de facturation et répondre aux obligations de la CPAM, la mise en place de procédures claires est essentielle. Voici de bonnes pratiques à adopter au quotidien ⬇️ METTRE EN PLACE UNE PROCÉDURE INTERNEÉtablissez un protocole de vérification avant l’envoi des feuilles de soins. Il pourrait inclure la validation des codes de facturation, la présence des devis signés et l’ajout des radios et des justificatifs nécessaires. Cette étape réduit fortement les erreurs et les contestations ultérieures. UTILISER UN LOGICIEL DENTAIRE AGRÉÉ ET RÉGULIÈREMENT MIS À JOURDes solutions comme Visiodent, Julie, Logosw ou équivalents permettent de limiter les risques d’erreurs de codage et d’éviter les oublis.Un logiciel à jour garantit la conformité aux règles en vigueur. FORMER TOUT L’ÉQUIPE AUX RÈGLES DE FACTURATION ET AUX OBLIGATIONS CPAMAssistantes, secrétaires et collaborateurs doivent maîtriser les procédures et comprendre les enjeux liés à la conformité des actes.Une équipe formée diminue les risques de non-conformité. ARCHIVER TOUS LES JUSTIFICATIFS Radios, devis signés, consentements… Conservez l’ensemble des documents liés aux soins dans les dossiers patients.En cas de contrôle CPAM, une traçabilité complète permet de répondre rapidement et sereinement. SUIVRE ET CORRIGER IMMÉDIATEMENT LES REJETS CPAM La mise en place d’un tableau de bord des rejets permet d’identifier les motifs récurrents et de corriger rapidement les erreurs. Ainsi, vous pouvez ajuster les pratiques du cabinet. Un suivi actif améliore la fluidité de votre facturation. CONTACTER LA CPAM EN CAS DE DOUTENe laissez aucune zone d’ombre : en cas d’incertitude sur un acte ou un code, interroger la CPAM évite une erreur involontaire pouvant être interprétée comme frauduleuse. METTRE EN PLACE UNE PROCÉDURE INTERNEÉtablissez un protocole de vérification avant l’envoi des feuilles de soins. Il pourrait inclure la validation des codes de facturation, la présence des devis signés et l’ajout des radios et des justificatifs nécessaires. Cette étape réduit fortement les erreurs et les contestations ultérieures.UTILISER UN LOGICIEL DENTAIRE AGRÉÉ ET RÉGULIÈREMENT MIS À JOURDes solutions comme Visiodent, Julie, Logosw ou équivalents permettent de limiter les risques d’erreurs de codage et d’éviter les oublis.Un logiciel à jour garantit la conformité aux règles en vigueur.FORMER TOUT L'ÉQUIPE AUX RÈGLES DE FACTURATION ET AUX OBLIGATIONS CPAMAssistantes, secrétaires et collaborateurs doivent maîtriser les procédures et comprendre les enjeux liés à la conformité des actes.Une équipe formée diminue les risques de non-conformité.ARCHIVER TOUS LES JUSTIFICATIFS Radios, devis signés, consentements… Conservez l’ensemble des documents liés aux soins dans les dossiers patients.En cas de contrôle CPAM, une traçabilité complète permet de répondre rapidement et sereinement.SUIVRE ET CORRIGER IMMÉDIATEMENT LES REJETS CPAM La mise en place d’un tableau de bord des rejets permet d’identifier les motifs récurrents et de corriger rapidement les erreurs. Ainsi, vous pouvez ajuster les pratiques du cabinet. Un suivi actif améliore la fluidité de votre facturation.CONTACTER LA CPAM EN CAS DE DOUTENe laissez aucune zone d’ombre : en cas d’incertitude sur un acte ou un code, interroger la CPAM évite une erreur involontaire pouvant être interprétée comme frauduleuse. Quelles sont les conséquences d’un mauvais suivi CPAM ? Ignorer les obligations ou accumuler les erreurs peut avoir des effets graves :Sanctions financières : remboursement d’actes, pénalités, voire blocage de la facturation avec la CPAM.Risques judiciaires en cas de fraude avérée : l’affaire évoquée en introduction en est l’exemple.Perte de confiance des patients : un cabinet mis en cause dont la réputation est ternie perd souvent des patients et souffre économiquement.Stress administratif pour toute l’équipe : gestion des rejets, contrôles, audits… cela pèse sur le moral et l’organisation. En conclusion Pour une structure dentaire, respecter les règles de la CPAM n’est pas seulement une contrainte : c’est un gage de pérennité, de réputation et de tranquillité. En comprenant les règles, en évitant les erreurs classiques et en appliquant des bonnes pratiques de prévention, vous sécurisez votre activité et protégez vos patients. Il ne faut pas laissez la facturation, la traçabilité ou le suivi administratif devenir votre point faible.Formez votre équipe à la CCAM !AMELICE Conseil peut vous apporter des éclairages pour comprendre la nomenclature et maîtriser les règles de la CCAM. Voir toutes nos actualités Nous contacter

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La collaboration : la clé pour développer votre cabinet dentaire

Dans un secteur où la demande de soins ne cesse d’augmenter et où le rythme des cabinets s’intensifie, la collaboration est devenue un véritable pilier du développement des cabinets dentaires. Pour un praticien libéral, accueillir un collaborateur, c’est avant tout investir dans la continuité, la performance et la pérennité de son cabinet. Mais encore faut-il que cette collaboration repose sur des bases solides : une bonne définition du besoin, un environnement adapté et un recrutement réfléchi. Dans cet article, AMELICE Conseil, cabinet spécialisé dans le recrutement de chirurgiens-dentistes, vous aide à comprendre le rôle stratégique du collaborateur et les bonnes pratiques pour réussir votre recrutement. Pourquoi la collaboration est devenue incontournable ? L’ÉVOLUTION DU MODÈLE LIBÉRAL Le modèle du cabinet dentaire libéral a profondément évolué ces dernières années. Là où le praticien exerçait seul, la collaboration s’impose aujourd’hui comme une forme d’organisation flexible, moderne et adaptée à la réalité du terrain. Entre les contraintes administratives, la charge de travail clinique, les nouvelles attentes des patients et la recherche d’équilibre personnel, le titulaire doit pouvoir s’appuyer sur une équipe solide. Et c’est là qu’intervient le collaborateur : un praticien autonome, investi, qui vient soutenir la dynamique du cabinet tout en développant sa propre activité. UN SIÈGE VIDE : UN COÛT SOUS-ESTIMÉ Dans le quotidien d’un cabinet, un fauteuil inoccupé ne représente pas seulement une perte de chiffre d’affaires, c’est aussi un déséquilibre organisationnel. Chaque jour sans collaborateur, ce sont des plages de soins perdues, une patientèle en attente et une charge de travail accrue pour le titulaire et son équipe. Recruter un collaborateur, c’est transformer un coût caché en valeur ajoutée. Au lieu de laisser un poste vacant, le cabinet capitalise sur une ressource humaine qui fidélise la patientèle et permet d'absorber le surcroît d'activité. UNE RÉPONSE AGILE AUX ENJEUX DU CABINET Le collaborateur offre une souplesse d’organisation précieuse. Il permet d’absorber une hausse d’activité, d’assurer la continuité des soins en cas d’absence du titulaire, ou encore de préparer une future association en douceur. Concrètement, en quoi consiste la collaboration libérale ? Peu de gens savent réellement ce qu’implique le statut de collaborateur libéral. Si vous avez déjà tapé sur google « recherche collaborateur chirurgien-dentiste » comprendre ce statut est essentiel. La collaboration libérale repose sur un principe simple : le praticien exerce en tant qu’indépendant, sans lien de subordination. Il gère lui-même ses actes, son organisation et son planning. Mais contrairement à l’installation classique, il ne part pas de zéro. Il bénéficie des locaux, du matériel, de l’équipe et de la patientèle du cabinet qui l’accueille. Autonomie clinique et confort d’un environnement déjà opérationnel : c’est cette combinaison qui attire autant ! Ce modèle offre une liberté d’exercice tout en garantissant un cadre structuré. Pour le titulaire, c’est une phase préparatoire idéale avant une éventuelle association. Pour le collaborateur, c’est une façon sécurisée et progressive d’entrer dans la vie libérale, avec beaucoup de flexibilité et un espace pour développer sa pratique. Quelles sont les clés d’une collaboration réussie ? 1 - METTRE À DISPOSITION UN ENVIRONNEMENT TECHNIQUE PERFORMANT Pour qu’un collaborateur s’investisse pleinement, il doit pouvoir exercer dans les meilleures conditions. Cela passe par un plateau technique moderne, un matériel de qualité, une assistante formée et une organisation fluide. Un collaborateur qui possède tout l'équipement nécessaire à son activité est un collaborateur épanoui, plus impliqué et plus fidèle. À l’inverse, un environnement de travail moins bien équipé ou mal structuré peut rapidement freiner la jeune génération à intégrer le cabinet. 2 - FAVORISER L'INTÉGRATION AU SEIN DE L'ÉQUIPE Une collaboration, c’est avant tout une relation humaine. L’accueil du collaborateur, son intégration et la communication quotidienne : tous ces éléments conditionnent la réussite du partenariat. Organiser une période d’adaptation, présenter clairement les règles de fonctionnement, impliquer les assistantes et le personnel administratif… autant de gestes simples qui créent la confiance. 3 - INSTAURER UNE COMMUNICATION CLAIRE Les collaborations les plus durables reposent sur la transparence. Définir les objectifs dès le départ, échanger régulièrement sur les attentes et les résultats, partager la vision du cabinet : c’est la clé d’une relation équilibrée. Une collaboration réussie n’est pas seulement un contrat, c’est un partenariat professionnel fondé sur la reconnaissance mutuelle. Les 3 erreurs à éviter quand vous recherchez un collaborateur : RECRUTER DANS L'URGENCE Le besoin d’un collaborateur se fait souvent sentir après un départ ou un surcroît d’activité. Mais céder à la précipitation est une erreur fréquente. Un recrutement bâclé conduit souvent à une collaboration écourtée, source de frustration pour les deux parties. Prendre le temps de définir le poste, les missions et le profil idéal permet de sécuriser le recrutement et de poser les bases d’une relation durable. NÉGLIGER L'ADÉQUATION HUMAINE Les compétences techniques ne suffisent pas. La réussite d’une collaboration repose aussi sur la compatibilité humaine : partage des valeurs, rythme de travail, approche clinique, relation patient. Chez AMELICE Conseil, nous plaçons l’humain au cœur de chaque recrutement, car un bon collaborateur est avant tout quelqu’un qui s’intègre naturellement au cabinet. OUBLIER L'ACCOMPAGNEMENT Recruter un collaborateur ne s’arrête pas à la signature du contrat. Il faut parfois prévoir un suivi régulier, des échanges constructifs et un soutien à la prise de poste. Un accompagnement de qualité permet de consolider la collaboration et de prévenir les ruptures prématurées. Pourquoi faire appel à un cabinet spécialisé pour recruter ? La recherche de collaborateur peut être chronophage et complexe : tri des candidatures, entretiens, vérification des références, gestion des attentes… Confier cette mission à un cabinet de recrutement spécialisé permet de gagner un temps précieux et de s’assurer d’une sélection rigoureuse. Chez AMELICE Conseil, nous connaissons les spécificités du monde dentaire : les typologies de cabinets, les enjeux régionaux, les nouvelles générations de praticiens… Notre approche repose sur une écoute approfondie des besoins et un accès privilégié à un vivier de candidats qualifiés. Chaque recrutement est construit sur mesure : nous recherchons le bon profil, pour le bon cabinet, au bon moment. Notre mission ne s’arrête pas à la mise en relation. Nous accompagnons nos clients dans toutes les étapes du processus : Analyse du besoin et définition du poste Rédaction et diffusion de l’annonce de collaboration Sélection et présentation de profils Suivi d’intégration après la prise de poste En plaçant l’humain au cœur de notre processus, nous assurons des recrutements stables et mutuellement bénéfiques. En conclusion : valoriser le collaborateur, c’est investir dans l’avenir du cabinet La collaboration n’est pas une simple réponse à un besoin ponctuel. C’est un choix stratégique pour assurer la croissance, la stabilité, la transmission du cabinet et la satisfaction des patients. Un collaborateur bien recruté, bien intégré et bien accompagné devient un moteur de développement. Il contribue à la qualité des soins, au confort de travail et à la réputation du cabinet. Faire appel à un cabinet spécialisé comme AMELICE Conseil, c’est sécuriser cet investissement humain et professionnel. C’est surtout choisir de s’entourer d’un partenaire qui comprend les réalités du métier et sait identifier le bon profil pour votre réussite. Vous êtes à la recherche d'un collaborateur ? Confiez-nous votre recrutement ! Gagnez du temps, sécurisez vos embauches et trouvez le bon profil grâce à notre expertise du secteur dentaire et à un accompagnement sur mesure, durable et efficace. Voir toutes nos actualités Nous contacter

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